S ’approprier le vocabulaire spécifique et commun aux professions paramédicales,
Utiliser le vocabulaire spécifique pour affirmer son professionnalisme,
Parler un langage commun, compréhensible de toute l ’équipe de soins (transmissions…)
Cours soins infirmiers en chirurgie (3éme partie)SANAA TOUZAMI
Cours enseigné et élaboré par TOUZAMI Sanaa (Enseignante permanente à l'ISPITS de Settat)
Cette partie comporte la prise en charge infirmière devant quelques pathologies chirurgicales
Ce cours s'adresse aux étudiants graduant en pharmacie. il résume l'un des aspects pratiques de la profession du pharmacien hospitalier comme guarant de l'hygiène dans l'établissement. ce document regroupe des aspects relatifs a l’antisepsie / désinfection / stérilisation et l'élimination des déchets
L’asthme constitue , un grand problème de santé publique,
malgré les énormes progrès réalisés au niveau de sa connaissance,
son traitement , l’asthme demeure une affection sous diagnostiquée.
Cours soins infirmiers en chirurgie (3éme partie)SANAA TOUZAMI
Cours enseigné et élaboré par TOUZAMI Sanaa (Enseignante permanente à l'ISPITS de Settat)
Cette partie comporte la prise en charge infirmière devant quelques pathologies chirurgicales
Ce cours s'adresse aux étudiants graduant en pharmacie. il résume l'un des aspects pratiques de la profession du pharmacien hospitalier comme guarant de l'hygiène dans l'établissement. ce document regroupe des aspects relatifs a l’antisepsie / désinfection / stérilisation et l'élimination des déchets
L’asthme constitue , un grand problème de santé publique,
malgré les énormes progrès réalisés au niveau de sa connaissance,
son traitement , l’asthme demeure une affection sous diagnostiquée.
LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE AVEC NOTAM...Khadija Moussayer
La polyarthrite rhumatoïde atteint surtout les femmes et se révèle assez souvent invalidante en rendant pénible les gestes élémentaires de la vie quotidienne. L’amélioration de sa prise en charge a cependant réduit de moitié en 20 ans ses conséquences douloureuses. Des thérapeutiques, récentes mais encore coûteuses, permettent d’envisager une vie quasi normale dans un avenir assez proche.
La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie inflammatoire chronique d’origine auto-immune où le système immunitaire s’attaque principalement aux articulations. Tout le monde peut être touché mais elle est beaucoup plus fréquente chez les femmes (dans une proportion de presque 3 femmes pour seulement 1 homme). Elle survient entre 35 et 50 ans en général.
LES SYMPTÔMES D’ALERTE DE LA POLYARTHRITE RHUMATOÏDE
Les premiers signes qui permettent d’évoquer la maladie se manifestent notamment par des gonflements douloureux au niveau des mains, poignets et genoux. La personne est également réveillée par des douleurs articulaires et ressent, le matin, un engourdissement et une raideur de ces articulations pendant un certain temps
LA PRISE EN CHARGE SPECIFIQUE
Outre un médecin généraliste, la prise en charge du malade est assurée généralement soit par :
– un rhumatologue (spécialiste des articulations et des os) ;
– un spécialiste en médecine interne, encore appelé « interniste », une spécialité méconnue au Maroc : il soigne notamment les patients qui présentent plusieurs organes malades, ou atteints simultanément de plusieurs maladies ;
– un pédiatre chez les enfants pour une forme différente, l’arthrite juvénile, susceptible d’évoluer plus tard en polyarthrite rhumatoïde.
LE DIAGNOSTIC : UN EXAMEN CLINIQUE, UN BILAN BIOLOGIQUE ET DES RADIOGRAPHIES OSSEUSES
Le diagnostic se fonde sur un ensemble de preuves obtenues par :
– l’examen clinique et l’interrogatoire permettant de suspecter la maladie par la localisation des atteintes et leur caractère chronique ;
– un bilan sanguin mettant ensuite en évidence la présence de substances spécifiques : les anticorps anti CCP ;
– une échographie pour confirmer l’inflammation et une radiographie enfin laissant voir des érosions osseuses et un pincement des lignes articulaires.
L’EVOLUTION DE LA PATHOLOGIE : LONGUE, IMPREVISIBLE ET DOULOUREUSE
Son évolution est imprévisible. Elle se fait sur des décennies, avec des périodes de poussées (des crises douloureuses) et de rémission (au cours de laquelle les symptômes sont moins intenses et peuvent même disparaître).
En règle générale, la maladie tend à s’aggraver, à atteindre et endommager de plus en plus d’articulations qui finissent par se déformer. Les doigts dévient sur le côté et se replient sur eux-mêmes. À un stade avancé, des atteintes peuvent toucher d’autres organes tels que les poumons, les yeux et le cœur. Si elle n’est pas correctement traitée, la polyarthrite rhumatoïde peut devenir très invalidante et douloureuse.
La coloration au bleu de prusse (coloration de perls).pptxS/Abdessemed
La coloration au bleu de prusse permet de mettre en évidence le fer non hémoglobinique présent dans cellules érythrocytaires sur le frottis de sang (sidérocytes) ou de moelle osseuse (sidéroblastes) afin d’évaluer les réserves médullaires en fer. Azrdfcx,p,az
Cette coloration est utile pour distinguer une carence vraie (réserves diminuées) d’un blocage de la synthèse de l’hémoglobine ou il y a hypochromie des globules rouges, mais des réserves de fer normales ou augmentées
les principales ordonnances en mycologieetparasitologie-131017142914-phpapp01...S/Abdessemed
L'objectif est de permettre à l'étudiant en médecine et au médecin généraliste de disposer des principales informations nécessaires au traitement des parasitoses et des mycoses les plus fréquentes...
La parasitologie médicale comporte des approches différentes mais complémentaires : - les parasites et champignons microscopiques en tant qu’agents pathogènes avec leurs morphologies et leurs biologies propres.
- le parasitisme forme particulière et dépendante entre deux organismes vivant en relation étroite.
- la maladie parasitaire ou mycosique et son environnement, résultats pathologiques du contact précédent entre le parasite ou champignon et son hôte. Cette relation entre l’hôte et son parasite se situe dans un environnement influant intervenant dans l’épidémiologie et la lutte contre les grandes endémies parasitaires exotiques.
Le microscope est un instrument de précision qui possède divers sous-systèmes :
optiques (lentilles, filtres, prismes, condenseurs),
mécaniques, pour contrôler la position de l’échantillon dans l’espace selon des coordonnées tridimensionnelles (X, Y, Z),
électriques (transformateur et source lumineuse),
et électroniques (appareil photo, enregistreur vidéo, etc.), qui interagissent pour agrandir et contrôler l’image d’objets non décelables à l’œil nu.
La microbiologie, de ses origines aux maladies emergentesS/Abdessemed
Tout le monde sait ce que sont les microbes, des micro-organismes vivants de trop petite taille pour être vus à l’oeil nu et qui nécessitent
d’être examinés au microscope : virus, bactéries, algues, champignons
et protozoaires. Chacun a appris à ses dépens que les microbes étaient sources de maladies. L’arrivée des nouvelles épidémies (fièvres hémorragiques dans les années 1970, Sida dans les années 1980, hépatite C dans les années 1990, SRAS et grippe aviaire dans les années 2000)
n’a fait que conforter l’homme de la rue dans cette idée. Ces dernières années, des alertes au bioterrorisme, plus ou moins fondées mais largement relayées par les médias, ont dramatiquement contribué à accentuerla peur des microbes.
Mais peu de gens savent que de très nombreux microbes jouent un rôle bénéfique important dans la nature, chez les êtres vivants et jusque dans notre vie quotidienne. Les micro-organismes existaient dès les premiers temps de l’histoire de notre planète, au cours desquels ils ont contribué à la formation de divers milieux. Ils sont des acteurs essentiels de notre environnement et des éléments indispensables à la vie. Ils se trouvent à l’origine de toutes les chaînes alimentaires. Les microorganismes furent aussi, et sont encore, responsables de nombreuses maladies humaines, animales ou végétales, dont le poids social et économique fut parfois, ou est encore, considérable.
Les milieux de culture en BactériologieS/Abdessemed
Parmi les milieux de culture, on distingue : Les milieux d'isolement qui sont le plus souvent solides et de composition simples pour permettre le développement de plusieurs espèces bactériennes. Les milieux sélectifs qui favorisent artificiellement la croissance d'une espèce au détriment des autres.
Les examens biologiques qui permettent de faire le diagnostic de l’infection ...S/Abdessemed
4 grandes situations diagnostiques
Pendant la phase chronique asymptomatique ou au stade SIDA, en dehors d’une date de contamination connue
Au moment de l’exposition(accident d’exposition professionnel ou sexuel)
Au moment de la primo-infection
Nouveau-né de mére VIH +
Diagnostic direct : L'infection par le VIH peut être mise en évidence par :
la recherche du virus lui-même ou encore de certains gènes viraux.
Antigénémie p24
Génome viral(ARN plasmatique, ADN proviral)
Diagnostic indirect : La sérologie du VIH permet de rechercher dans le sang la présence d’anticorps anti-HIV-1 et anti-HIV-2, signe de l’infection. Ces anticorps sont présents dans le sérum en cas de primo-infection à partir du 22e jour après la contamination et sont mis en évidence par une panoplie de tests
Le dosage de l’hémoglobine glyquée (hb a1c)S/Abdessemed
L’hémoglobine glyquée ou glycosylée (que l’on note parfois HbA1c) est une forme particulière d’hémoglobine, le pigment présent dans les globules rouges qui permet de transporter l’oxygène dans le sang. Ainsi, l’hémoglobine glyquée est une hémoglobine sur laquelle s’est fixée une molécule de glucose. Il existe un lien proportionnel entre le taux d’HbA1c et le taux de glucose sanguin. Plus le pourcentage d’hémoglobine glyquée dans le sang est élevé, plus la glycémie (taux de glucose dans le sang) moyenne est élevée.
Le dosage de l’hémoglobine glyquée est donc utilisé pour le suivi des personnes diabétiques, en complément du dosage de la glycémie. La glycémie reflète le taux de sucre instantané dans le sang, alors que le taux d’hémoglobine glyquée reflète l’équilibre global du diabète, c’est-à-dire son degré de contrôle. Si l’HbA1c est trop élevée, c’est le signe que le diabète est mal contrôlé et qu’il faut ajuster les traitements.
But :
Déterminer le nombre de plaquettes présent dans un volume de sang, soit le nombre de plaquettes dans un litre de sang.
Principe :
Le sang est dilué dans un liquide permettant la lyse des hématies et évitant l’agrégation des plaquettes entres elles, et la numération est ensuite effectuée au microscope optique ou à contraste de phase.
la recherche de l'agent pathogène responsable, dans les liquides ou les tissu du malade ; constitue le diagnostic direct
la recherche de la réponse immunitaire spécifique de l'organisme à l'agent pathogène ; c'est le diagnostic indirect
La réaction immunitaire développée par l'hôte peut être révélée, en recherchant et en titrant des anticorps spécifiques apparus dans les humeurs, en particulier le sérum sérodiagnostic
Les principales techniques sont les réactions de précipitation, les réactions d'agglutination et les réactions de neutralisation.
La plupart de ces techniques utilisent les propriétés des anticorps monoclonaux.
Leur affinité et leur spécificité de liaison à leur cible fait d'eux des outils incontournables de détection.
Ils permettent de déterminer la présence d'un épitope particulier dans un échantillon, permettant ainsi dans les techniques comme le western blot ou l'ELISA de détecter des protéines, ou des modifications particulières de protéine (phosphorylation, acétylation, etc.).
L’ examen du sédiment urinaire, particulièrement important pour mettre en évidence la présence de cristaux et d’éléments cellulaires (hématies, leucocytes, L’ examen du sédiment urinaire, particulièrement important pour mettre en évidence la présence de cristaux et d’éléments cellulaires (hématies, leucocytes, cellules épithéliales, cylindres, bactéries, levures,..) devrait être réalisé sur chaque analyse d’urine, même si aucune anomalie n’est détectée à la bandelette urinaire.
En effet, un certain nombre de prélèvements d’urine sans anomalie à la bandelette peuvent avoir un culot anormal (pyurie, bactériurie, etc).
cylindres, bactéries, levures,..) devrait être réalisé sur chaque analyse d’urine, même si aucune anomalie n’est détectée à la bandelette urinaire.
En effet, un certain nombre de prélèvements d’urine sans anomalie à la bandelette peuvent avoir un culot anormal (pyurie, bactériurie, etc).
La bactériologie médicale est une branche de la Biologie médicale qui consiste en l'analyse de divers liquides biologiques (parfois de tissus) dans le but d'isoler et/ou de caractériser une ou des bactéries pouvant être responsables de la pathologie suspectée à l'aide de techniques directes ou indirectes.
Le mot incubateur vient du latin incubare qui signifie couver. L’incubateur est une enceinte dont l’atmosphère, la température et l’humidité sont contrôlées afin de maintenir des organismes vivants dans un environnement adapté à leur développement. Parmi ses applications les plus courantes figurent l’incubation de cultures bactériennes, virales, microbiologiques en général et cellulaires, la détermination de la demande biochimique en oxygène (DBO) et le stockage de produits biologiques. Il existe divers modèles de complexité différente.
Certains ne contrôlent que la température tandis que d’autres contrôlent également la composition de l’atmosphère de l’enceinte. Il en existe aussi qui peuvent travailler à des températures plus basses que la température ambiante grâce à des systèmes de réfrigération. Selon les modèles et les spécifications de ces appareils, les températures de travail vont de −10 °C à 75 °C ou un peu plus. Certains incubateurs ont un systèmed’injection de CO2 pour obtenir des conditions favorables au développement de diverses espèces de micro-organismes et de cultures cellulaires
Le mot distillateur vient du latin distillare, qui signifie vaporiser des liquides sous l’effet de la chaleur.
Le distillateur utilisé au laboratoire, aussi appelé appareil de production d’eau distillée, purifie l’eau courante par un processus de vaporisation et de refroidissement contrôlés. Il transforme l’eau liquide en vapeur en lui appliquant de l’énergie thermique par chauffage.
Lors de la vaporisation, les molécules d’eau se séparent des autres molécules diluées ou mélangées dans la phase liquide La vapeur d’eau est recueillie et passe dans un condenseur, où elle est refroidie et retourne à l’état liquide. L’eau condensée est ensuite recueillie et stockée dans un réservoir séparé. L’eau distillée présente des caractéristiques de pureté supérieures à celles de l’eau courante ; elle est pratiquement exempte de substances contaminantes.
Le bain-marie est un appareil utilisé au laboratoire lors de l’exécution de tests d’agglutination et d’inactivation, de tests sérologiques, biomédicaux et pharmaceutiques et même pour des procédures d’incubation en milieu industriel.
Ils utilisent en général de l’eau, mais certains fonctionnent avec de l’huile.
La gamme de températures de fonctionnement se situe en général entre la température ambiante et 60 °C.
On peut sélectionner une température de 100 °C en utilisant un couvercle spécial. La capacité d’une cuve de bain-marie va de 2 à 30 litres.
Anton VAN LEEUWENHOEK (1632-1723), drapier hollandais et grand amateur de loupes et instruments
d'optique, découvre et décrit entre 1674 et 1687 le monde microbien (« les
animalcules »). Mais celui-ci n'est véritablement reconnu qu'à partir du milieu du XIXe siècle à la
suite des travaux de Louis PASTEUR et de ses élèves.
En 1866, HAECKEL crée le terme de protistes pour désigner, entre le monde animal et le monde
végétal, les êtres unicellulaires et les êtres pluricellulaires sans tissus différenciés. Les protistes
sont classés en deux catégories :
• Les protistes supérieurs ou eucaryotes qui possèdent un noyau entouré d’une membrane, des
chromosomes, un appareil de mitose et une structure cellulaire complexe (mitochondries notamment).
• Les protistes inférieurs ou procaryotes qui ont un chromosome unique sans membrane nucléaire
et sans appareil de mitose, et une structure cellulaire élémentaire (pas de mitochondries).
Les bactéries font partie des protistes procaryotes.
Les Examens de laboratoire (valeurs normales et variations pathologique)S/Abdessemed
Les résultats de laboratoire montrent qu’il existe plusieurs catégories d’examen en fonction des liquides et tissus examinés et des éléments qui y sont présents de manière normale ou pathologique. Ainsi ces résultats font état d’analyses pratiqués sur des échantillons de sang total : hématologie, d’une fraction du sang : le sérum avec la biochimie sérique,
d’urines : avec la cytologie urinaire et la microbiologie urinaire.
Enfin ces résultats font apparaître un antibiogramme associé à l’examen cytobactériologique des urines car pratiqué chaque fois qu’une bactérie pathogène est identifiée dans un prélèvement ; Il est pratiqué dans le cadre du
diagnostic et du suivi d’une infection.
- Hématologie : Science qui traite de la physiologie et de la pathologie des tissus
hématopoïétiques (moëlle osseuse, rate, ganglions lymphatiques impliqués dans la formation des éléments figurés du sang) et du sang
- Biochimie sérique : science qui traite de la constitution chimique et des réactions chimiques du sérum( partie du sang dont sont exclus les éléments figurés et le fibrinogène), le sérum est composé d’un liquide comportant des éléments azotés : créatinine, urée, albumines,
globulines, acides aminés) lipidiques cholestérol, acides gras, glucidiques : glucose
notamment, minéraux(chlore, potassium, sodium, magnésium, calcium, phosphore, fer, iode,
des enzymes, des hormones et divers métabolites.
La centrifugation est une technique qui utilise la force centrifuge pour séparer les différents composants d’un fluide.
Au laboratoire médical, elle est principalement utilisée pour séparer le plasma ou le sérum à partir de prélèvements sanguins ou pour obtenir un sédiment urinaire. Pendant la centrifugation, les composants du sang ou des urines les plus lourds sont entraînés au fond du tube, accélérant une sédimentation naturelle.
Ils sont ainsi séparés du surnageant, du plasma s’il s’agit de sang anticoagulé ou du sérum si le sang a coagulé naturellement.
2. Sémiologie et vocabulaire
médical
S ’approprier le vocabulaire spécifique et
commun aux professions paramédicales,
Utiliser le vocabulaire spécifique pour affirmer
son professionnalisme,
Parler un langage commun, compréhensible de
toute l ’équipe de soins (transmissions…)
3. SIGNES
Manifestations d ’une maladie reconnue par
un médecin.
Eléments objectifs, constatables
spontanément ou provoqués pour poser un
diagnostic.
4. SYMPTOMES
Phénomènes particuliers observés dans
l ’organisme du malade.
Symptomes : signes :
* objectifs = signes observés par le médecin
* subjectifs = perçus et signalés par le malade
(douleur, vertige…)
5. SYNDROME
Ensemble de symptômes et de signes qui définissent
cliniquement une pathologie.
Le préfixe syn- = ensemble, avec
Le suffixe -drome = course
=> syndrome : ensemble de symptômes réunis.
Exemples : S.I.D.A., syndrome méningé, syndrome
grippal...
6. PRODROME
Préfixe pro- = en avant (dans le temps)
Suffixe -drome exprime course
=> le prodrome est un signe avant-coureur de
la maladie.
Il annonce un état pathologique
7. MALADIE
La maladie est le nom qui désigne « le processus
pathologique depuis sa cause initiale jusqu’à
ses dernières conséquences sur l ’état de la
personne).
=> altération de l ’état de santé du patient (vécue
différemment…)
8. MALADIE
Définition : Altération de l'état de santé se
manifestant par un ensemble de signes et de
symptômes perceptibles directement ou non,
correspondant à des troubles généraux ou
localisés, fonctionnels ou lésionnels, dus à des
causes internes ou externes et comportant une
évolution.
9. PATHOLOGIE
Science qui étudie les maladies
Nosologie = étude des caractéristiques des
maladies en vue de les classer.
Hémopathie…
Cardiopathie…
Néphropathie...
10. MALADIE - PATHOLOGIE
Diagnostic : pathologie identifiée par un
médecin après étude de tous les éléments
recueillis…
Pronostic : le médecin prévoir l ’évolution de la
pathologie et l ’issue probable de la maladie...
11. PATHOLOGIE AIGUE
Elles sont le résultat des causes nuisibles
extérieures au sujet et toujours occasionnelles.
Elles sont toujours passagères, bien que la durée
de l'évolution soit variable.
Ex . : Les traumatismes
12. PATHOLOGIE CHRONIQUE
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, la
maladie chronique est : "un problème de santé
qui nécessite une prise en charge sur une
période de plusieurs années ou plusieurs
décennies."
13. PATHOLOGIE CHRONIQUE
Plus précisément les maladies chroniques sont
définies par :
- la présence d’une cause organique,
psychologique ou cognitive ;
- une ancienneté de plusieurs mois ;
14. PATHOLOGIE CHRONIQUE
-le retentissement de la maladie sur la vie
quotidienne : limitation fonctionnelle, des
activités, de la participation à la vie sociale
- dépendance vis-à-vis d’un médicament, d’un
régime, d’une technologie médicale, d’un
appareillage, d’une assistance personnelle ;
16. Les maladies psychiques et
mentales.
Les maladies psychiques sont des catégories de
symptômes. De ce fait, au cours du siècle, on a
classé différemment les troubles de la
personnalité.
Le trouble bipolaire
La schizophrénie
17. Les maladies psychiques et
mentales.
Les délires interprétatifs
La psychose hallucinatoire chronique
La dépression
L’agoraphobie
L’anxiété généralisée
La phobie sociale
Les troubles obsessionnels compulsifs