Le point sur le transfert des donnees

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DataNB

Le point sur le transfert de données administratif de PETL à NB-IRDT

Data & Analytics

Le point sur le transfert des
données
Andy Balzer
Atelier sur l’AC de l’ÉPFT et de l’IRDF-NB
Le 10 septembre 2019

Contexte
Question : Comment faire pour transférer les données de l’ÉPFT
à l’IRDF-NB?
Réponse : Envoyer l’analyste en détachement de l’IRDF-NB à
l’ÉPFT

Processus de transfert des
données
1. Compléter l’entente cadre sur le partage des données
2. Préparer les données et créer une liste de variables
3. Compléter le Calendrier de divulgation individuelle
4. Envoyer les données d’identification au MS pour créer un
fichier de concordance
5. Envoyer les données du programme à l’IRDF-NB
6. Le MS envoie le fichier de concordance à l’IRDF-NB, qui
établira des liens entre les données

Mise à jour
Série de
données
Description Statut
BizNet Immigrants reçus au N.-B. dans le cadre du
PCNB
Transfert à l’IRDF-NB
ContactNB Clients de l’orientation professionnelle Transfert des données presque terminé
CAFÉ Demandeurs de prêts étudiants Préparation des données en cours à l’ÉPFT
SAIC Candidats à la certification commerciale Préparation des données en cours à l’ÉPFT
CET Compétences essentielles au travail À venir sous peu
FAC Formation et perfectionnement des compétences À venir sous peu
Et bien plus encore!

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The Healthy Families Healthy Babies (HFHB) program, a Government of New Brunswick initiative, offers home-based early intervention services for at-risk first-time mothers and their infants, targeting health and developmental concerns. In collaboration with NB-IRDT, this program has undergone comprehensive evaluation, examining short-term and longer-term outcomes, extending up to preschool age, among participants in the postnatal HFHB services. Notably, HFHB postnatal program participation was found to have a positive impact on the duration of breastfeeding. Postnatal program participants were more likely to be breastfeeding at 18 months and had a longer average duration of breastfeeding than non-participants.

Impact of Public Health Postnatal Home Visiting in NB on Breastfeeding among ...

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The care model in Saint John, New Brunswick, supports outpatient mastectomies and lumpectomies, the primary treatments for non-metastatic breast cancer. Given the geographic distribution of the province, many patients travel long distances to receive surgical care at regional hospitals. These patients may face: i) a stressful trip home post-surgery, ii) expensive hotel accommodations; or iii) medically unnecessary hospital stays. Therefore, the Breast Health Program partnered with Delta Hotels by Marriott in Saint John to create the “Delta Oasis” program that offers rural outpatient breast surgery patients and their families’ free accommodations and extramural care. The present study used a mixed-methods approach to investigate patients’ experiences with this program. We found that the program yielded positive benefits for patients, including reduced stress and discomfort associated with travel, and for the Delta Hotels, such as increased customer loyalty and word-of-mouth advertising (i.e., incentives to continue offering the program). Furthermore, there are significant financial implications associated with the Delta Oasis program that could yield health system savings; hotel accommodations are five times less costly than traditional hospital stays for breast surgery perioperative care. The Delta Oasis program is a beneficial alternative to inpatient care that is often not medically necessary for breast cancer surgery. Thanks to the innovative partnership between Saint John’s Breast Health Program and Delta Brunswick Hotel, the Delta Oasis program generates zero cost to the provincial healthcare system. Establishing funding partners and adapting this service to other types of low-risk surgery could bring forth added health system savings.

A Mixed Method Study Evaluating an Innovative Care Model for Rural Outpatient...

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Le modèle de soins mis en place à Saint John (Nouveau-Brunswick) permet de réaliser des mastectomies et des tumorectomies en ambulatoire, lesquelles sont les principaux traitements du cancer du sein non métastatique. Compte tenu de la répartition géographique de la province, de nombreuses patientes parcourent de longues distances pour recevoir des soins chirurgicaux dans des hôpitaux régionaux. Ces patientes peuvent affronter : i) un retour stressant à la maison après l’opération, ii) un hébergement coûteux à l’hôtel, ou iii) des séjours à l’hôpital inutiles sur le plan médical. C’est pourquoi le programme de santé du sein s’est associé au Delta Hotels (Marriott) de Saint John pour créer le programme « Delta Oasis » qui offre l’hébergement gratuit et des soins extra-muros aux patientes des zones rurales ayant subi une chirurgie du sein en ambulatoire ainsi qu’à leur famille. La présente étude a utilisé des méthodes mixtes pour étudier l’expérience des patientes avec ce programme. Nous avons constaté que le programme avait des effets positifs pour les patientes, notamment une diminution du stress et de l’inconfort liés au voyage, et pour les hôtels Delta, une fidélisation de la clientèle et une publicité de bouche à oreille (un incitatif pour poursuivre le programme). Qui plus est, le programme Delta Oasis comporte d’importants aspects financiers qui pourraient générer des économies pour le système de santé; les séjours à l’hôtel sont cinq fois moins coûteux que les séjours traditionnels à l’hôpital pour les soins périopératoires liés à la chirurgie mammaire. Le programme Delta Oasis est une option de rechange avantageuse aux soins hospitaliers, qui souvent ne sont pas médicalement nécessaires pour une chirurgie du cancer du sein. Grâce au partenariat novateur entre le programme de la santé du sein de Saint John et l’hôtel Delta Brunswick, le programme Delta Oasis ne coûte rien au système de santé provincial. La mise en place de partenariats financiers et l’adaptation de ce service à d’autres types de chirurgie à faible risque pourraient permettre de réaliser des économies additionnelles pour le système de santé.

Une étude à méthode mixte évaluant un modèle de soins innovant pour les patie...

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Background: Although legislation permits New Brunswick pharmacy professionals to administer a wide range of immunizations, public funding for these services is currently limited to immunizations against influenza and COVID-19 and was recently extended to include pneumococcal immunization (Pneu23) in individuals aged 65 years or older. We used administrative data to project health and economic outcomes associated with the current Pneu23 program and with extension of public funding to include: 1) younger adults aged 19 years or older in the Pneu23 program, and 2) tetanus boosters (Td/Tdap). Methods: Two model scenarios were compared: a Physician-Only model in which physicians remain the only practitioners to administer publicly funded Pneu23 and Td/Tdap, and a Blended model in which this service is also provided by pharmacy professionals. Immunization rates by practitioner type were projected based on physician billing data accessed via the New Brunswick Institute for Research, Data and Training in conjunction with trends observed with influenza immunization by pharmacists. These projections were used along with published data to estimate health and economic outcomes under each model. Results: Public funding of Pneu23 (65+), Pneu23 (19+) and Td/Tdap (19+) administration by pharmacy professionals is projected to yield increased immunization rates and physician time savings compared with the Physician-Only model. Public funding of Pneu23 and Td/Tdap administration by pharmacy professionals in those aged ≥19 years would result in cost savings, owing primarily to productivity losses avoided in the working age population. Discussion: Increased immunization rates, physician time savings and cost savings may be realized if public funding were extended to include administration of Pneu23 in younger adults and Td/Tdap, by pharmacy practitioners. Presenter: Dr. Chris Folkins

Projected Outcomes of Extending Public Funding of Pharmacy Services

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Projection des résultats en matière de santé et d’économie conséquents de l’extension du financement public des services pharmaceutiques pour inclure l’administration des vaccins Pneu-P-23 et dcaT/dT par les praticiens en pharmacie au Nouveau Brunswick. Contexte : Bien que la loi permette aux professionnels de la pharmacie du Nouveau-Brunswick d’administrer un large éventail de vaccins, le financement public de ces services est actuellement limité aux vaccins contre la grippe et la COVID 19 et a été récemment étendu pour inclure le vaccin antipneumococcique (Pneu P 23) chez les personnes âgées de 65 ans ou plus. Nous avons utilisé des données administratives pour projeter les résultats en matière de santé et d’économie associés au programme Pneu P 23 actuel et à l’extension du financement public afin d’inclure : 1) les jeunes adultes âgés de 19 ans ou plus dans le cadre du programme Pneu P 23, et 2) les rappels antitétaniques (dcaT/dT). Méthodes : Deux scénarios ont été comparés : un modèle réservé uniquement aux médecins, dans lequel ces derniers restent les seuls à administrer le Pneu P 23 et le dcaT/dT financés par le public, puis un modèle mixte dans lequel ce service est également assuré par des professionnels de la pharmacie. Les taux de vaccination par type de praticien ont été projetés sur la base des données de facturation des médecins accessibles par le biais de l’Institut de la recherche, des données et de la formation du Nouveau-Brunswick, en complément avec les tendances observées en matière de vaccination antigrippale par les pharmaciens. Ces projections ont été utilisées avec des données publiques pour estimer les résultats de chaque modèle en matière de santé et d’économie. Résultats : Le financement public de l’administration de Pneu P 23 (65 ans et plus), Pneu P 23 (19 ans et plus) et dcaT/dT (19 ans et plus) par des professionnels de la pharmacie devrait permettre d’augmenter les taux de vaccination et d’économiser le temps des médecins par rapport au modèle exclusivement réservé à ces derniers. Le financement public de l’administration du Pneu P 23 et du dcaT/dT par des professionnels de la pharmacie chez les personnes âgées de 19 ans et plus permettrait de réaliser des économies, principalement grâce aux pertes de productivité que cela permettrait d’éviter chez la population active. Discussion : L’élargissement aux pharmaciens du financement public pour l’administration du Pneu P 23 et du dcaT/dT chez les jeunes adultes pourrait entraîner une augmentation des taux de vaccination, un gain de temps pour les médecins et une réduction des coûts. Présentateur: Chris Folkins, Phd

Projection des résultats de l’extension du financement public des services ph...

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Le profil de santé de la population du Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick (CSNB) donne un aperçu de la santé et du mieux-être des personnes qui vivent, apprennent, travaillent et participent à des activités dans chaque communauté de notre province. Cet outil est conçu pour aider les citoyen.ne.s et les décideurs à développer une compréhension commune des réalités uniques vécues dans chaque communauté et peut être utilisé pour favoriser la collaboration en vue d’une vision commune de la population néo-brunswickoise informée, engagée et en meilleure santé. Les profils sont disponibles pour les 33 communautés et les 7 zones de santé de la province. Chaque profil a été créé en analysant les informations à partir de plus de 400 indicateurs de santé de la population, disponibles dans les tables de données de santé de la population qui sont sur le site web du CSNB. L’information incluse nous aide à comprendre à quel point les citoyen.ne.s de nos communautés sont en santé aujourd’hui (résultats de santé) et quels facteurs influencent leur santé et leur mieux-être (déterminants de la santé).

Profil de santé de la population du CSNB

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The New Brunswick Health Council’s (NBHC) Population Health Profile provides an overview of the health and well-being of people who live, learn, work and take part in activities in each community of our province. This tool is designed to help citizens and decision makers develop a shared understanding of the unique realities lived in each community and can be used to foster collaboration toward a common vision of informed, engaged, and healthier New Brunswickers. The profiles are available for the 33 communities and the 7 health zones of New Brunswick. Each profile was created by analyzing information from more than 400 population health indicators, available in the Population Health Data Tables on the NBHC website. The information included helps us understand how healthy the citizens in our communities are today (health outcomes) and what factors influence their health and well-being (health determinants).

NBHC Population Health Profiles

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Vieillir sur place soutenu par une surveillance continue du bien-être

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March meeting: Aging in Place Supported by Continuous Wellness Monitoring As the population ages, New Brunswick is seeing an increasing number of people who wish to age in place at home. Care for these adults increases in complexity as they age and become frailer, particularly towards the end of their lives. This project provides 24/7 support for healthy aging in place, at home, using a virtual care platform, that will allow for remote patient assessment, planning, monitoring, implementation, and evaluation. The use of a virtual-care, continuous wellness monitoring platform and associated services, is demonstrated in this project to improve many metrics of wellness, patient, and provider satisfaction, and increase the efficiency of care delivery at a lower cost. This platform can empower older adults with tools to age in place; reduce emergency room visits/rehospitalization and paramedic calls; increase the interconnectedness of seniors with friends/family, informal caregivers, and senior advocates; support and connect formal caregivers, such as social workers; and delay/reduce admission to residential facilities. Presenters: Dr. Keith Brunt and Pat Kelly

Aging in Place Supported by Continuous Wellness Monitoring

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Changes in mental health and substance use associated with the COVID-19 pandemic

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Changements en matière de santé mentale et dans les comportements de consomma...

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Changes in mental health and substance use associated with the COVID-19 pandemic

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Alternate level of care (ALC) designates a patient occupying a bed at a higher level of care than is required. ALC has significant negative implications for patients and the health system. ALC is more prevalent among older adults, specifically among those with functional limitational that require supportive services to maintain independence, such as those needing home care, or living in supportive community housing. To describe period prevalence of ALC among a high-risk population of older adults in NB. A population-based prevalence study was conducted at the NB Institute for Research, Data and Training (NB-IRDT) using linked individual-level administrative data. Records from the Social Development Long-Term Care (SD LTC) program over 5-years (2013-2018) for adults over 65 years, were linked to Department of Health (DH) hospital data to profile ALC hospitalizations. Various demographic, geographic and program characteristics were stratified by hospitalization status to examine differences in ALC prevalence. In 21,635 older adults identified, 70% were hospitalized and 25% included ALC. In those hospitalized requiring ALC, acute length of hospital stay was longer (median: 10 vs 6 days). Median duration in ALC was 2 weeks, and 25% stayed longer than 33 days. Differences were noted for certain geographic and program, but not demographic characteristics when examining likelihood of ALC. These results provide policy-relevant insights into ALC experience among high-risk older adults in NB. Inconsistent with previous research, no inequalities across demographic characteristics were found. Additional research is required to better understand predictors of ALC in NB.

Alternate Level of Care Experience in High-Risk Older Adults in New Brunswick...

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On utilise le terme « autre niveau de soins » (ANS) lorsqu’un patient occupe un lit à un niveau de soins supérieur à celui requis. Un ANS a des conséquences négatives importantes pour les patients et le système de santé. Un ANS est plus fréquent chez les personnes âgées, en particulier celles qui ont des limitations fonctionnelles et qui ont besoin de services de soutien pour conserver leur autonomie, comme celles qui ont besoin de soins à domicile ou qui vivent dans des logements communautaires avec services de soutien. L’objectif est de décrire la prévalence périodique des ANS au sein d’une population de personnes âgées à risque élevé au Nouveau-Brunswick. Une étude de la prévalence fondée sur la population a été réalisée à l’Institut de la recherche, des données et de la formation du Nouveau-Brunswick (IRDF-NB), à l’aide de microdonnées administratives liées. Les dossiers sur cinq ans (2013-2018) du programme de soins de longue durée du ministère du Développement social concernant les adultes de plus de 65 ans ont été liés aux données hospitalières du ministère de la Santé pour établir le profil des hospitalisations ANS. Diverses caractéristiques démographiques, géographiques et de programme ont été superposées selon le statut d’hospitalisation afin d’examiner les différences dans la prévalence des ANS. Sur les 21 635 personnes âgées répertoriées, 70 % ont été hospitalisées et 25 % ont bénéficié d’un ANS. Chez les personnes hospitalisées nécessitant un ANS, la durée de séjour à l’hôpital était plus longue (médiane : dix jours par rapport à six jours). La durée médiane d’hospitalisation ANS était de deux semaines, et 25 % de ces personnes ont séjourné plus de 33 jours. Dans le cadre de l’examen de la probabilité d’ANS, des différences ont été constatées pour certaines caractéristiques géographiques et de programme, mais pas pour les caractéristiques démographiques. Ces résultats fournissent des renseignements pertinents sur l’expérience d’ANS chez les personnes âgées à risque élevé au Nouveau-Brunswick. Au contraire de recherches précédentes, aucune inégalité relative aux caractéristiques démographiques n’a été constatée. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre les prédicteurs d’ANS au N.-B.

Expérience d’un autre niveau de soins chez les personnes âgées à risque élevé...

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Across Canada, many people are struggling to find a regular place for primary care and to access care where and when they need it. Policymakers are confronting the fact that after decades of reforms, primary care service volume is falling and inequities are widening. There are more primary care physicians than ever before, but at the same time they are reporting record levels of overwork and exhaustion. This seminar will present data describing how primary care patient access and physician practice patterns are changing, including national survey data and linked administrative data from British Columbia, Manitoba, Ontario, and Nova Scotia. We’ll explore factors that may be driving changes and what these might mean for future Healthcare capacity. We’ll conclude by considering different approaches that can help ensure equitable access to quality primary care in Canada. About the speaker: Dr. Ruth Lavergne is an Associate Professor in the Department of Family Medicine at Dalhousie University and a Tier II Canada Research Chair in Primary Care. Dr. Lavergne’s program of research aims to address disparities in access and build evidence to ensure primary care organization, delivery, and the workforce meet the needs of Canadians now and in the future. Her expertise is in quantitative analysis of population-based administrative health data. She leads interdisciplinary mixed methods primary care studies in collaboration with experts in qualitative methods, patients, clinicians, and policymakers.

If there are more family doctors than ever before, why can’t I find one? Usin...

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Résultats des services associés à un faible accès et continuité des soins méd...

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Health and health service utilization outcomes associated with low access to ...

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The New Brunswick Institute for Research, Data and Training (NB-IRDT) provides secure access to a variety of New Brunswick administrative data. Our data users include graduate students, researchers, clinicians, and representatives from government and industry and more. But where would someone start if they want to access NB-IRDT? How can data be shared with NB-IRDT? And how does one go about accessing these data? The NB-IRDT Data Services Team will present this session to answer these questions. The Data Services Team works with researchers and data partners to facilitate all the necessary steps of the life cycle of secondary data – from research question to NB-IRDT access to dissemination of the research findings. The goal of this session is to answer your questions regarding how students, researchers, and data partners can engage with NB-IRDT and take advantage of all we have to offer. Topics will include: - How to become a data partner with NB-IRDT - How data are shared with NB-IRDT - How to request access to data held by NB-IRDT - How data are released from NB-IRD And more!

Lunch & Learn: Data Services at NB-IRDT – What can we do for you?

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Chez les couples âgés, la fragilité de l’un peut se répercuter sur la fragilité de l’autre, ouvrant la voie à une obligation de soins potentiellement ingérable et compromise pour le couple au fur et à mesure que la fragilité des deux s’accentue. Dans le cadre de notre étude, nous examinons la coévolution de la fragilité chez les couples âgés vivant en milieu communautaire au Nouveau-Brunswick. À l’aide des données administratives sur la santé, nous avons recensé les couples âgés de plus de 65 ans qui vivaient en milieu communautaire au Nouveau-Brunswick entre le 1er avril 2017 et le 31 mars 2019. Un algorithme de fragilité validé, le Hospital Frailty Risk Score, a servi à quantifier le risque de fragilité pour le répartir en quatre catégories (risque de fragilité nul, faible, intermédiaire et élevé) pour toutes les personnes âgées hospitalisées. Les relations entre la fragilité des couples ont été examinées à l’aide de modèles de régression, adaptés en fonction de l’âge. Nous avons cerné plus de 37 000 couples âgés vivant en milieu communautaire, la moitié ayant été hospitalisée au cours de la période d’étude de deux ans. Dans 23 % des cas, c’est le partenaire masculin qui avait été hospitalisé; dans 18 % des cas, c’était la partenaire féminine et, dans 10 % des cas, les deux avaient été hospitalisés. Lorsque les deux conjoints avaient été hospitalisés, 11 % des hommes et 10 % des femmes ont été classés dans la catégorie de fragilité élevée ou intermédiaire. L’âge était associé directement à la fragilité. Les hommes étaient, en moyenne, plus âgés que les femmes dans chaque catégorie de fragilité. Nos recherches montrent une probabilité accrue de fragilité élevée ou intermédiaire chez l’une des deux personnes du couple lorsque l’autre présente également un risque de fragilité élevé ou intermédiaire. Nos résultats laissent entendre que la fragilité de l’un des conjoints a des conséquences importantes sur la fragilité de l’autre, ce qui cadre avec les constatations fondées sur les preuves émergentes. Si l’un des conjoints est fragile, l’autre est plus susceptible de l’être aussi. Vieillir chez soi est certes une priorité essentielle, mais le risque de fragilité concordante peut créer un fardeau supplémentaire pour les couples qui n’ont pas de soutien supplémentaire sur place.

Concordance de la fragilité chez les couples âgés vivant en milieu communauta...

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Among older couples, frailty in one partner may impact frailty in the other, setting the stage for potentially unmanageable and compromised caregiving capacity on the couple as they both become frail. In our research we are examining the co-evolution of frailty in community-dwelling older couples in New Brunswick. Using administrative health data, we identified community-dwelling older couples over age 65 living in NB between April 1, 2017 and March 31, 2019. A validated frailty algorithm, the Hospital Frailty Risk Score was used to quantify risk of frailty into four categories (no, low, intermediate, and high frailty risk) for all hospitalized seniors. Relationships between couples’ frailty was examined using regression models, adjusting for age. We identified over 37,000 community-dwelling older couples, half of which were hospitalized over the 2-year study period. In 23% the male partner was hospitalized, in 18% the female partner was and in 10% both were hospitalized. Among those that both partners were hospitalized, 11% of males and 10% of females were categorized as high or intermediate frailty. Age was positively associated with frailty. Males were, on average, older than females in each frailty category. Our research shows an increase likelihood of having high or intermediate frailty in one partner, when the other also had a high or intermediate frailty risk. Our results suggest that frailty in one partner has a significant impact on frailty in their spouse, consistent with findings from emerging evidence. If one is frail, their partner is more likely to be frail. While aging in place is a key priority, risk of concordant frailty may create additional burden on couples without additional supports in place.

Frailty Concordance among Community-Dwelling Older Couples in New Brunswick

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