1. PROJET KAMISHIBAI PLURILINGUE
MS - GS - CP
Développer des compétences d’éveil aux langues, aux cultures étrangères et des
compétences d’éducation artistique et culturelle, au travers d’un projet interdisciplinaire.
2. A l’origine du projet…
- Le souhait de proposer aux équipes enseignantes un projet interdisciplinaire,
- Le concours kamishibaï plurilingue proposé par l’association
- L’outil Kamishibaï qui présente de nombreux intérêts. Tout d’abord son utilisation collective et partagée.
Les enfants se réunissent autour du castelet et participent à la représentation : ils mettent en commun
leurs émotions, leurs hypothèses, leurs images mentales, leurs réflexions sur l’histoire et son message
dans une élaboration collective du récit. Ensuite sa simplicité: simplicité du texte, de l’image et de son
utilisation. Enfin, tout comme le livre, le kamishibaï est un objet culturel qui entretient l’imagination de
l’enfant, aide à prolonger sa pensée, favorise sa réflexion, ouvre son esprit et sa curiosité vis-à-vis des
personnages et des récits qui habitent le théâtre de papier.
Vidéos de lectures de kamishibaï
3. COMMENT ?
en jouant
en réfléchissant
en résolvant des problèmes
en s’exerçant
en se remémorant
en mémorisant
APPRENDRE
Programme d’enseignement de l’école maternelle - BO n°2, p.4 & 5
4. Les langues vivantes étrangères à l’école maternelle
Recommandations pédagogiques - mai 2019
Fonder le parcours linguistique de l'élève, première étape d'un continuum
d'apprentissages qui se poursuivra en cycle 2.
Permettre aux élèves de mobiliser le langage dans toutes ses
dimensions et favoriser plus particulièrement le développement
de compétences:
la prise de conscience que la communication peut passer par d’autres langues que le
français par exemple les langues régionales, les langues étrangères et la LSF,
l’acquisition de connaissances et compétences dans le domaine du langage
(compétence à apprendre les langues, savoirs),
l’accueil et la reconnaissance des langues familiales dans leur variété et leur richesse.
l’éducation de l’oreille (plasticité cérébrale),
le développement d’aptitudes méta-cognitives, l’élaboration de stratégies personnelles
sur les langues,
des effets bénéfiques sur le langage en français (interlangue).
5. Ainsi que le développement de représentations et d’attitudes positives:
Ouverture à la diversité culturelle, motivation pour apprendre des langues
Former des individus dans leur relation au monde et aux autres,
Amener les élèves à se décentrer,
Eveiller leur curiosité,
Construire un vécu linguistique qui ne soit pas uniquement
celui des représentations de leur entourage.
6. OBJECTIFS
Développer du goût pour les pratiques artistiques
Découvrir différentes formes d’expression artistique
Vivre et exprimer des émotions, formuler des choix
Programmes cycle 1
POURQUOI ?
POUR
l’ Education
Artistique
& Culturelle
FINALITES
enjeux
CPDAP - DSDEN 17
Développer la sensibilité et l’esprit critique
Enrichir l’expression artistique et la créativité
7. Développer du goût pour les pratiques artistiques
Découvrir des outils et matériaux
Faire des essais
Explorer des possibilités nouvelles
S’adapter aux contraintes
S’intéresser aux effets produits, aux résultats d’actions
et les situer par rapport aux intentions premières
individuellement et collectivement
8. Découvrir différentes formes d’expression artistique
Constituer une culture artistique de référence
une quinzaine d’œuvres sur l’ensemble du cycle
époques et champs artistiques différents
reproductions, enregistrements, films, captations vidéo
Commencer à construire des connaissances
Initier à la fréquentation de lieux culturels
en comprendre la fonction artistique et sociale
Découvrir le plaisir d’être spectateur
9. Vivre et exprimer des émotions, formuler des choix
Mettre des mots sur les émotions, les sentiments, les
impressions
Exprimer des intentions
Évoquer des réalisations
Comparer, différencier des points de vue
Emettre des questionnements
Expliciter des choix, formuler des pensées, justifier des
intérêts
10. Les langues vivantes étrangères au cycle 2
Extraits du guide pour l’enseignement des LVE
Oser dire le nouveau monde – juillet 2019
- L’approche actionnelle est privilégiée dans l’enseignement des langues vivantes.
Dire ou parler, c’est produire un effet sur son environnement, c’est agir, faire ou faire faire. L’élève est en
action et dans une situation d’apprentissage qui est aussi une situation de communication avec autrui,
autour d’un projet ou d’une tâche à réaliser.
- Au-delà des convergences avec le français et entre langues, l'enseignement des langues vivantes
comporte en soi des pratiques interdisciplinaires. En effet, l'apprentissage d'une langue ne peut
s'appuyer sur les seules compétences linguistiques et doit s'ancrer dans un contexte, une notion, une
thématique, etc. qui relèvent forcément des autres disciplines d'enseignement.
Les compétences langagières à travailler sont:
- Comprendre à l’oral : l’élève est en situation de réception
- S’exprimer oralement en continu : l’élève est en situation de production
- Prendre part à une conversation : l’élève est en situation d’interaction
11. EN ARTS PLASTIQUES AU CYCLE 2
REPRESENTER LE MONDE:
- Respecter l’espace, les outils et les matériaux partagés.
- Dessiner, modeler, sculpter avec différents outils, supports, gestes, matériaux…
- Expérimenter ; observer et constater les effets produits, tirer parti des trouvailles fortuites ; réinvestir
dans une nouvelle production.
- Proposer des réponses inventives et expressives.
-Donner à voir des productions plastiques
EXPRIMER SES EMOTIONS
- Exprimer ses émotions dans une production plastique
- Dessiner pour raconter, témoigner d’un événement ou pour prévoir un projet.
- Utiliser divers outils, dont ceux numériques, pour représenter.
- S’impliquer dans les étapes d’un projet de création collective.
DIRE/TEMOIGNER
-Décrire et comparer, au moyen d’un vocabulaire spécifique, des expérimentations plastiques d’élèves,
des démarches d’artistes.
- Exprimer ses émotions et sa sensibilité en confrontant sa perception à celle des autres élèves.
- Comparer des œuvres d’art de nature et d’époques différentes pour en repérer des éléments constitutifs
(couleurs, formes, matières, supports…).
Programmes
2016
12. Mettre en place le PEAC des enfants
PEAC = parcours d’éducation artistique et culturelle
Permettre aux enfants de
FRÉQUENTER / PRATIQUER / S’APPROPRIER
rencontres pratiques connaissances
CRÉER
AVEC et DANS
la NATURE
CRÉER
AVEC et DANS
la NATURE
CRÉER
AVEC et DANS
la NATURE
LE PROJET POURQUOI ?
POUR
DSDEN
17
-
E.Mahé
des œuvres
des démarches
des artistes
mettre en œuvre un processus
de création
concevoir et réaliser une
production
réfléchir sur sa pratique
des repères culturels
un lexique spécifique
CPD AP-DSDEN 17
13. Mettre en place le parcours linguistique des enfants
Permettre aux enfants de
FREQUENTER et ECOUTER / REPETER / S’APPROPRIER
rencontres pratiques connaissances / aptitudes
CRÉER
AVEC et DANS
la NATURE
CRÉER
AVEC et DANS
la NATURE
CRÉER
AVEC et DANS
la NATURE
LE PROJET POURQUOI ?
POUR
DSDEN
17
-
E.Mahé
des langues
des cultures
des locuteurs
mettre en œuvre une exposition
régulière aux langues et aux cultures
étrangères
mobiliser des stratégies (écoute,
perception, reproduction,
réutilisation…)
réfléchir sur la langue comme objet
d’observation et de manipulation
des sonorités
une première conscience
de la diversité linguistique et
culturelle
CPD AP-DSDEN 17
14. Kamishibaï signifie littéralement : « théâtre de papier ». C’est une technique de
contage d’origine japonaise (genre narratif japonais) basée sur des images qui
défilent dans un butaï (théâtre en bois), équipé de petits ouvrants (ou non).
Il s’agit le plus souvent d’une mallette en bois qui ouvre ses portes et crée une
scène où le public se rassemble autour. À l'intérieur, une histoire divisée en en
planches imprimées des deux côtés : un côté (recto) avec l'illustration et l'autre
côté (verso) avec le texte et une image de ce qui est vu de l'avant. Les planches
sont introduites dans la glissière latérale positionnée au dos du butaï dans l’ordre
de leur numérotation.
En ouvrant les volets du butaï le public découvre les illustrations tandis que le
narrateur lit le texte en faisant défiler les planches les unes après les autres sous
les yeux ébahis des spectateurs... c'est une façon motivante de raconter en public
des histoires !
QU’EST-CE QU’UN KAMISHIBAÏ ?
15. Le kamishibaï puise donc ses origines dans les temples bouddhistes du Japon dès le XIIème siècle.
Les moines utilisaient des parchemins combinant des images et des textes pour raconter des histoires à un
public souvent dans sa majorité analphabète.
Au début des années 1920, le Kamishibaï est devenu une façon traditionnelle de raconter des histoires à
travers le Gaito Kamishibaiya.
Les gaitos kamishibaiyas étaient des narrateurs
qui emmenaient le butaï (théâtre Kamishibaï) de village en village sur leurs
vélos, pour ramener les contes aux plus petits.
En échange, une fois ayant fini de raconter les histoires, le Gaito vendait
des friandises aux plus petits pour gagner ainsi sa vie.
À son arrivée aux villages, le Gaito faisait sonner un instrument appelé
Hyoshigi (une sorte de bâtons en bois) pour attirer l’attention des jeunes
assoiffés d’histoires.
Trois possibilités de récit pour le gaïto (conteur) :
o Des planches illustrées présentées dans un ordre séquentiel,
o Un narrateur visible (ou invisible) qui devient acteur par ses expressions et sa gestuelle,
o Des accessoires sonores, un instrument ou une bande musicale…
Tutoriel pour fabriquer votre propre butaï en bois, pour les plus bricoleurs/euses ou en carton.
16. : les auteurs des planches pour kamishibaï vont à l’essentiel de l’histoire. Un
nombre réduit de personnages, humains ou animaux, des contes simples, épurés de tout ce qui n’est
pas narratif (descriptions, pensées des personnages), des textes clairs et directs, des phrases courtes et
des formes verbales simples, des dialogues prépondérants.
: par l’utilisation de plans les scènes aussi sont simples et cherchent à mettre en
évidence les personnages, différents. L’utilisation de la couleur est au service du ton de l’histoire et des
sentiments des personnages. Texte et image sont en lien étroit : la correspondance doit être complète,
vu que l’auditoire voit et écoute simultanément l’histoire. Tout détail superflu qui pourrait distraire ou
rendre la compréhension plus difficile est proscrit.
: c’est une petite mallette que le conteur peut installer partout, à n’importe
quel moment.
17. Travail sur la narration
Vous pouvez choisir des trames narratives qui permettront aux élèves de s’approprier plus facilement l’histoire
et d’oser la raconter devant un public :
- une trame narrative à structure répétitive par accumulation, par juxtaposition, en randonnée aller simple
ou aller-retour ou encore
- un conte traditionnel, déjà connu des enfants en français
18. Matériaux et format
Le kamishibaï doit faire 27 x 37,5 cm pour pouvoir être raconté dans un castelet. Il faut penser à laisser
des petites marges pour que la totalité de l’illustration soit bien visible par les spectateurs.
Chaque planche doit être suffisamment rigide, pour tenir et défiler dans le castelet. Il est conseillé de
choisir des supports épais (type feuilles Canson).
L’ensemble ne doit pas être trop volumineux, de sorte que toutes les planches du kamishibaï entrent
dans le castelet.
Il faut éviter au maximum les irrégularités dans la surface d’une planche, car elles rendraient le
défilement plus difficile.
Cependant si vous souhaitez travailler les textures, vous pouvez réaliser les planches avec de la
matière, du relief…puis photocopier les planches une fois qu’elles sont réalisées (ou les photographier
et les imprimer).
19. Créer les illustrations
Toutes les techniques sont possibles que ce soit pour les éléments de l’histoire ou les fonds : le
collage, le dessin, la peinture, la photographie, le numérique...
Vous pouvez profiter de ce projet pour explorer les techniques plastiques que vous souhaitez.
Donner forme à:
- Des personnages (dessins, photocopies des personnages, marionnettes, marottes, colliers…)
- Des portraits (personnages dessinés, peints…)
- Des lieux: là où se déroule une action (forêt, maison, plage…)
TRACE INDIVIDUELLE
Vous pouvez choisir de donner un exemplaire de chaque planche à chaque enfant sous formes de « livres ».
Chaque planche réalisée pourra être photocopiée.
20. Exemple 1:
Choix d’un personnage principal récurrent (qui sert de base) qui peut revêtir un élément qui matérialise le pays
de la planche
→ un chapeau, un vêtement, un objet (parapluie…) qui se colorise aux couleur du drapeau du pays
→ tout le personnage « grimé » aux couleurs du pays
21. Exemple 2:
Choix d’un élément culturel emblématique du pays
→ un monument (tour Eiffel, Tower brige, statue de la liberté…)
→ un objet (cabine téléphonique, taxi, drapeau…)
→ un plat (tasse de thé, paëlla, saucisson et baguette…)
22. Exemple 3:
Choix d’une personne célèbre (personnage réel ou non)
→ chanteur, acteur, artiste, personnage de dessin Animé…
Exemple 4:
Choix d’une oeuvre
→ sculpture , peinture…
23. Travail sur les mots
Vous pouvez insérer des mots en langues étrangères dans les planches :
- Soit le même mot récurrent que l’on retrouve dans chaque planche dans une langue différente
- Soit des mots différents (un mots pour chaque planche)
- Soit une lettre à chaque planche pour former par exemple sur la dernière page un mot (en lien avec
l’histoire inventée ou travaillée)
24. Si vous choisissez la récurrence d’un mot (ex: le mot OUI) qui
apparait dans différentes langues, vous pouvez:
- Soit reproduire le mot récurrent de la même manière
- Soit proposer ce mot avec différentes techniques, supports,
matériaux…
EXEMPLE AVEC LE MOT OUI EN FRANCAIS
25. Des mots pour créer un fond…
ou la 1ère planche du kamishibaï avec le titre de l’histoire.
26. Comment écrire des mots étrangers en jouant avec :
les FORMES des lettres, mots et bulles (référence BD)
et
les COULEURS, qui doivent reprendre celles du drapeau du pays choisi.
28. QUELQUES CONSEILS POUR LA LECTURE
AVANT
* s'entraîner avant à la lecture, pour s'approprier les personnages, les voix. Il peut y avoir plusieurs élèves qui
racontent et pourquoi pas un élève qui fait une voix « off ».
* s'entraîner devant un miroir pour se rendre compte et ajuster la manipulation des planches (parfois il faut
instaurer un jeu de suspense et ne pas retirer la planche d'un seul coup)
• vérifier que toutes vos planches soient dans le bon ordre avant le jour J sinon c'est la catastrophe assurée.
PENDANT
– théâtraliser le début et la fin de la lecture par exemple à l’aide d’une formulette, de l’ ouverture/fermeture des
battants, d’un déguisement, d’un décor, d’une musique…)
POUR FINIR
– en fin de lecture, penser à ne pas enlever la dernière illustration et à fermer les battants du support en bois.
Sinon, vous allez remontrer la première illustration.
29. PROLONGEMENTS…
Pour donner plus d’impact à cette représentation en tant qu’événement et impliquer tout le
monde, on peut proposer aux enfants de créer des affiches et des invitations au spectacle.
LES REPRESENTATIONS
Pour que chaque enfant participe à la représentation, d’autres rôles que ceux du « conteur » peuvent être
créés. On peut proposer à certains d’être agents d’accueil, à d’autres d’être placeurs dans la salle, il peut
aussi y avoir des présentateurs (du kamishibaï, du projet, du spectacle…).
Association Dulala
36. AUTOPORTRAIT AU COLLIER D’ÉPINES
ET COLIBRI
(1940)
https://dailygeekshow.com/tableaux-
frida-kahlo/
Assurément l’artiste mexicaine la plus populaire au monde, Frida Kahlo a marqué
l’Histoire de l’Art par ses œuvres poignantes et ses autoportraits bouleversants
L’autoportrait tient une place très importante dans son Œuvre. On en compte au moins 55 sur les 150 tableaux qu’elle a
peints. En se mettant elle-même en scène, elle exprime ses souffrances. Sa peinture devient porte-parole de sa douleur.
Son visage est une œuvre d’art à part entière. Elle conçoit elle-même ses coiffures qu’elle orne de brins de laine, de rubans
colorés et de fleurs.
37. Jane Perkins
Artiste britannique
L'artiste anglaise Jane Perkins s'inspire pour son art par des
objets trouvés. Elle utilise tout ce qui peut être utilisable –
des jouets, des coquillages, des boutons, des bijoux etc. et
cela lui sert pour son art réinterprété contemporain.
L'artiste a fait sa thèse en Art et Design sur les matériaux
recyclés.
39. Claes Oldenburg
Artiste suédo-américain
1929
Claes Oldenburg, né le 28 janvier 1929 à Stockholm, est un sculpteur vivant et
travaillant à New York, où il a grandi. Il est connu notamment pour ses
installations monumentales, répliques d'objets du quotidien.
40.
41. Christophe
Boffoli
1969-
Artiste américain
Christopher Boffoli est un
photographe d'art, photojournaliste,
cinéaste indépendant et journaliste
basé à Seattle. Il est surtout connu
pour sa série de photographies "Big
Appetites", dans laquelle de
minuscules figures humaines
détaillées posent dans des
environnements alimentaires réels.
42. Musée Figuéras Espagne
Le téléphone homard
1936
Dali est un peintre, un sculpteur, un graveur… Il est considéré comme
l’un des principaux représentants du surréalisme, et comme l’un des
plus célèbres peintres du Xxème siècle.
43. Jaume PLENSA
Artiste Espagnol
1955
L’écriture fait
pénétrer dans la
sculpture le vide et
la lumière.
Elle est l’élément
solide de cette
figure.
L’homme est une
somme de mots,
de lettres que l’art
révèle
47. Natsumi
TOMITA
1986
Artiste japonaise
Elle fabrique des animaux sauvages à partir
de déchets qu’elle ramasse dans la rue.
Objets du quotidien qui avaient autrefois
une histoire, jusqu'au jour où ils ont cessé
d'être utilisés: vieux vélos, parapluies
cassés, canettes, ustensiles de cuisine
endommagés , etc. Chacun de ces objets
avait un but et une signification jusqu'à ce
qu'ils soient abandonnés. Natsumi TOMITA
aime les collectionner et leur redonner vie
en les replaçant dans un nouveau contexte.
49. Tapisserie murale
L’arbre de vie, fête du paradis
Gustav Klimt est un peintre symboliste autrichien, et l'un
des membres les plus en vue du mouvement Art nouveau
et de la Sécession de Vienne.
GUSTAVE KILIMT
Artiste Autrichien
1862 - 1918
Le baiser 1907, 1908
50. ALBEN
Artiste français
1964
Alben est artiste autonome et indépendant. Pour lui son art ne
saurait souffrir d'aucune classification susceptible d'enfermer
son travail dans un genre précis.
Ses peintures sont surtout réalisées s à la bombe et avec des
pochoirs qu’il fabrique lui-même un à un. Alben présente aussi
des sculptures originales. En remplissant ses bustes en résine
avec des objets de la vie quotidienne, bonbons ou jouets
d’enfants, Alben se remémore son enfance et souligne encore
une fois une nostalgie latente, très présente dans son travail.
51. Gilbert LEGRAND
Artiste français
http://gilbert-legrand.com/
Gilbert Legrand se partage entre deux activités: la pratique de l'infographie
pour les travaux de commandes (création de personnages, couvertures de
livres, montages numériques) et la réalisation d'illustrations en volume ayant
comme point de départ des objets du quotidien détournés en personnages
poétiques et humoristiques.
52. LE PROJET
QUOI ?
Evaluer
QUAND ?
COMMENT ?
POUR QUOI ?
Évaluation positive
- mettre en valeur, au-delà du résultat obtenu, le cheminement de l'enfant et les progrès qu'il fait par
rapport à lui-même.
- permettre à chaque enfant d'identifier ses réussites, d'en garder des traces, de percevoir leur
évolution.